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Traductions

Livret Bonfire : Annotations

nb : pour une meilleure appréhension des propos tenus dans ces annotations constituant ce livret « Bonfire », nous avons parfois opté pour un remaniement des termes employés. Ceci afin de rendre le plus explicite possible le sens des idées exprimées. En somme, le passage de l’anglais au français !


Page 3 :

« Mes nouveaux camarades d’école m’ont menacé de me botter le cul lorsqu’ils ont entendu mon accent écossais. Ils m’ont donné une semaine pour apprendre à parler comme eux si je voulais rester intact. Bien sûr, je n’en ai eu que faire ! Aucun d’entre eux n’est venu me chercher des noises et cela ma rendu encore plus déterminé que jamais pour parler avec mon propre accent. C’est comme ça que j’ai eu mon surnom. The Bonny Scot ». (Bon Scott)

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Page 4 :

“Suis-tu l’actualité de gens tels qu’Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page ? (1)
Oui, il y a quelques années, je les trouvais formidables. A cette époque, je jouais tous les trucs que ces gens enregistraient. J’ai vu mon frère Malcolm jouer leurs solos, et il les interprétait aussi bien qu’eux, alors pourquoi lui n’était pas célèbre ? »
Angus Young, Oakaland 1979, (Record Review, USA, Juin 1981)
(1) La traduction “mot à mot” signifierait « Es-tu au courant… »


« Nous avons notre part (de responsabilité) à propos de ces hôtels qui ont été saccagés, mais c’était il y a longtemps ! Tu sais, tu te tapes un service d’hôtel complètement cradingue.. ce que je veux dire par là, c’est que tu n’as pas besoin de balancer une télé au travers de la fenêtre de façon gratuite. Si tu dors dans un endroit crade, alors, tu as une excuse. »
Angus Young, USA Octobre 1979

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Page 5 :

“Malcolm? C’est le cerveau du groupe”.
Bon Scott, Reims, Décembre 1979

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Page 6 :

« Bon était l’influence principale du groupe. Lorsqu’il nous a rejoint, il nous a tous poussé au cul. Il avait une putain d’attitude de branleur. Cette attitude, nous l’avions tous en nous, mais Bon nous a permis de l’extérioriser ».
Malcolm Young


« A nos débuts, on jouait six fois par jour. On donnait sept concerts ».
Angus Young (1986)


« Je voyais toutes ces femmes et je me disais que c’était bon ! J’étais très excité. J’ai emprunté une guitare à mon frère et j’ai commencé à jouer n’importe quoi ».
Angus Young

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Page 9 :

« La seule répétition que nous avons eue, fut de nous asseoir, une heure avant le concert, et de faire l’inventaire des standards de rock que l’on connaissait. Quand tout fut réglé, Bon avala deux bouteilles de Bourbon et pris tout un tas de drogues, puis il déclara « Je suis prêt », et il l’était le bougre ! Il était déchaîné ! C’était comme une transformation instantanée. Il courait partout sur la scène avec la petite culotte de sa femme sur la tête ! Il hurlait après le public ! C’était un moment magique ! Il disait que cela le faisait redevenir jeune ! »
Angus Young à propos du premier concert d’AC/DC avec Bon Scott

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Page 10 :

« A nos débuts, il n’y avait pas l’utilité extrême de répéter comme des malades. La seule chose qui comptait, c’était de leur donner quelque chose dans les pubs et les clubs ; faire en sorte que les types s’arrêtent de boire et se demandent « Mais qu’est-ce que c’est ? ».
Angus Young (Circus, Janvier 1985)

“Ce dont je me souviens plus particulièrement de nos premiers concerts, c’est cette habitude que Bon et moi avions de mimer un duel avec des revolvers. Je pouvais même glisser le long du bar et tous les verres volaient dans tous les sens ».
Angus Young (Circus, Janvier 1985)


« On donnait notre premier gig à l’heure du déjeuner dans une école. Ensuite, on transportait tout notre matériel dans le pub le plus proche pour donner deux concerts dans l’après-midi. Et on finissait en donnant deux autres gigs dans un autre club. Le lendemain, on recommençait. C’était le prix à payer ».
Bon Scott (à propos des débuts du groupe), (Rock&Folk, Décembre 1979)


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Page 13 :

« La musique Rock a été entretenue par des trucs comme Woodstcok et tous ces groupes hippies. Nous pensons que nous sommes la première « fracture » vis à vis de ce type de musique folk. Certes, c’était bien, mais ce n’était pas du Rock’n’Roll. Les Easybeats était le dernier groupe de rock que j’ai réellement apprécié. Nous reprenons la flambeau là où ils l’ont laissé ».
Bon Scott, USA 1978, (Prairie Sun, IL 1978)

« Quoiqu’il en soit, tant que tu joues des chansons de Rock’n’Roll, celles-ci peuvent changer si tu leur donnes des « couilles ! Les couilles du Rock (1) ! Et c’est ce qui importe le plus à nos yeux ! »
Bon Scott, Oakland 1979, (Record Review, USA Juin 1981)
(1)¨Peut-être est-ce là une référence au standard de rock « Great balls of Fire » !


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Page 15 :

«Je n’aime pas jouer au-dessus ou en dessous du public ! En fait, ce que je préfère, c’est surtout être face à face avec les kids et les faire remuer ! »
Angus Young, Londres 1976, (NME, Octobre 1976)


« Angus: J’ai eu une influence conséquente sur lui. Vous auriez du le voir la première fois où je l’ai rencontré ! Il ne parlait pas anglais ! C’était seulement des « enculé », « con », « putain », « merde ». Je lui ai fait découvrir un nouvel aspect de la vie en l’expédiant chez lui avec un dictionnaire »
« Bon : Il m’a appris à dire « s’il vous plaît » et ensuite « merci » !
Angus Young & Bon Scott, Londres, Juillet 1979 (Sounds, Juillet 1979)

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