Prague, 22 mai 2016, review de Jul' | Highway To ACDC : le site francophone sur AC/DC

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Prague, 22 mai 2016, review de Jul'

Difficile retour à la réalité après ce concert... Les 7 heures de route post concert avec reprise du boulot à 8 heures, ça pique un peu...

Bref... Avant toute chose, je tiens à saluer et remercier mes compagnons de route : Bolton, Wallace, tags, blablackice, Ol et sa chérie. Quelle chance de vous connaître !

Excellent before à l'appartement avec la caisse de Jupiler offerte par Sébastien (encore merci !) puis dans un bar à bières de Prague (tireuse pression au centre de la table - c'est pratique !) avec les fans allemands, suisses, suédois, japonais... Bière pression, hamburger à se damner : le pied !

Jour J : visite de la ville : superbe. Rarement une ville m'aura tant émerveillé ! Pause repas au QG local de tataginette : "Novomestsky Pivovar". Bière pression / goulache / irish coffee (?) / alcool local. Température extérieure 40 degrés au soleil. Love. De peur de se déshydrater il nous faudra encore faire une pause en terrasse avant de s'élancer vers le métro.

17h30, nous arrivons sur place : foule dense, soleil de plomb. Nous achetons le t-shirt officiel puis nous faufilons au cœur de la pelouse or côté Cliff à 5/6 mètres de la scène. Première partie digne d'une fête pour adolescents. Ridicule pour nous, extraordinaire pour le groupe, on s'en doute. Tyler et Cie : ça passe. Ça casse pas trois pattes à un canard, mais ça occupe. 19h45 : AC/DC débarque. Le chanteur est debout : ouf ! on le voit moins, en mouvement, il est plus facile à éviter ; il fait le boulot : simple et efficace c'est appréciable. Le groupe est plus puissant qu'à Werchter. Tout est carré, encore une fois maitrisé (pouvait-on s'attendre à autre chose ?).

High Voltage passe mieux que précédemment. Dog eat dog fait son apparition - ce n'est pas mon titre favori, mais c'est sympa de découvrir un titre surprise alors que l'on s'attend à tout autre chose... Ambiance en fosse tranquille : chacun y va de son gentil sautillement, aussi n'avançons-nous que très faiblement (à l'exception de Bolton qui ne maitrise que faiblement ses pulsions barrière) car nous souhaitions garder notre place pour bénéficier d'une vue impeccable sur Stevie Chris et Cliff. Beau et bon concert !

Et puis le rappel... Avant concert, tags qui a pour habitude de prendre en photo les techniciens et accessoirement "young stadier", a par hasard réussi à prendre la set list en photo... en lieu et place de Riff Raff, le zoom laisse apparaître un titre à rallonge... en ne sait rien de plus, mais on se dit que ce soir... peut-être que... Et puis... Guitare... Un truc bizarre... C'est quoi ça ?... Le guest commence à chanter et putain c'est "Touch too Much" ! Incroyable ! Comme Riff Raff à Lisbonne, je donne tout, hurlant avec les chœurs : que c'est bon ! For those : Boom ! Fini.

On se retrouve, le sourire aux lèvres, on a assisté à un concert particulier, exceptionnel, historique. Mais... là où en 2001 avec "Ride on" et "Gone shootin" j'avais le kiffomètre à 10 sur une échelle de 0 à 5, la surprise tchèque m'a laissé un goût amer en bouche : durant ce titre je n'ai regardé que les 4 piliers, parce que "Touch too much" chanté par le chanteur des Guns, c'est... c'est... (mot en 5 lettres)... sympa ? Oui, sympa.

Next stop : Berne.





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