Il démonte, quelle puissance.
Voilà tout le raffut que peut produire un type qui paie pas de mine, une semi guitare, et une caisse en bois.
Fin je dis ça, mais il va moins vite que Matt Rach.
Thomas Wilkens a écrit:Il démonte, quelle puissance.
Voilà tout le raffut que peut produire un type qui paie pas de mine, une semi guitare, et une caisse en bois.
Fin je dis ça, mais il va moins vite que Matt Rach.
MasterBob a écrit:Si vous cherchez bien dans le tube, il a aussi fait avec une seule corde (1 string)!
Y en a-t-il d'autres qui ne vont pas voir AC/DC le 25 fevrier et qui se laisseraient tenter par Steve?
« Tout va bien », c'est la devise de Seasick Steve. Une devise étonnante quand on sait qu'il a passé la moitié de sa vie dans le caniveau. Mais à 60 ans bien sonnés, il semble qu'effectivement tout aille bien pour lui.
Les nuits blanches de sa jeunesse, Seasick Steve les a passées à écouter la musique de guitaristes comme R.L. Burnside ou Son House - un bluesman du delta du Mississippi, prédicateur, briseur de mariages, taulard et conteur d'histoires hors pair. Et puis, il y a eu l'époque où son blues n'intéressait plus personne. Jusqu'à aujourd'hui, où le revival du blues le propulse à nouveau sur le devant de la scène.
Seasick Steve a grandi dans la rue. A 13 ans, il claque la porte de la maison et se dépatouille à coups de petits boulots. Ses séjours en prison, il a arrêté de les compter. Par contre, il se souvient que la vie en tournée, c'est un peu comme le paradis sur terre. Il a longtemps travaillé dans les studios d'enregistrement en tant que technicien ou homme à tout faire. Au début des années 90, il embarque tout son équipement et quitte le Tennessee pour Seattle. Il y créé un studio qui sera fréquenté par des groupes indie comme Modest Mouse et Bikini Kill. Et puis, bien sûr, les groupes grunge. C'est ainsi qu'il rencontre Kurt Cobain.
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