1) Les chansons qui m'ont fait découvrir des groupes phares et leur univers :
Thunderstruck, HTH et Touch Too Much : on m'a offert 4 albums d'AC/DC à Noël en 92. Pour autant que je m'en souvienne, ces trois chansons sont les premières qui m'ont réellement marquées et qui m'ont fait rentrer dans l'univers des boys pour ne jamais en ressortir. Depuis, AC/DC reste ma plus grande influence musicale et personnelle.
Run to the Hills d'Iron Maiden : accroché par la pochette d'un single de mon grand frère, je l'ai fait tourner sur ma vieille platine disque. La batterie de Clive Burr m'a totalement décalqué et depuis, Number of the Beast reste un de mes albums favoris, tous styles confondus.
Gato Lopez de Ska-p : un copain grand connaisseur de ska me les a fait découvrir et j'ai depuis acquis tous les albums. A écouter les jours où rien ne va, histoire de se remmettre la pêche.
Misery de Therapy? : la chanson qui m'a fait acheter l'album Infernal Love, qui m'a bouleversé et que j'écoutais (et écoute encore) en toute occasion pendant mon adolescence. Je regrette de ne pas avoir su trouver les mots pour dire à Andy Cairns combien cet album compte pour moi quand j'ai eu la chance de le rencontrer et de lui faire dédicacer.
Free Bird de Lynyrd Skynyrd et Overkill de Motörhead : deux groupes que j'ai découvert sur le tard, mais deux des plus grands solos jamais écrits.
2) Chansons associées à des moments perso
Poison d'Alice Cooper : qui me fait toujours penser à mon ex, 8 ans après.
L'ivrogne de Jacques Brel : et tout l'univers de Brel en général, que j'écoutais en boucle après une douloureuse séparation.
Les sabots d'hélène de Brassens : en tout Brassens en général, quand j'en ai eu marre de déprimer sur Brel
Jeune et con de Saez : chanson sur laquelle mon meilleure ami et moi-même partagions sans fin notre mal-être à l'époque de notre folle jeunesse.
Calling You (Bagdad Café) : la meilleure chanson pour passer des instants coquins avec sa douce
