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Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

angus73
 
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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar angus73 » 17 Mai 2016, 20:11

et oui une page se tourne......et ce concert et ben ça a été un très bon moment de plaisir.vivement le prochain.et en bonus je suis tombé sur vivi et farid de trust,j'en demande pas plus.Un tient vaut mieux que deux tu l'auras! :hair:

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angus974
 
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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar angus974 » 17 Mai 2016, 21:47

vivi et farid.....ça me renvoie à la sortie de l'album " Rock ' n roll" production typée milieu des années 80, des synthé ringards mais de chouettes compos là dedans avec un nono toujours inspiré.

Je vois que les anciens Trust ont du mal à lâcher l'affaire concernant ACDC, comme nous finalement, malgré toutes ces défections dans les rangs des boys.

je me souviens que vivi portait souvent des tee shirts et des badges AC/DC.

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caraibes46
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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar caraibes46 » 17 Mai 2016, 22:09

angus974 a écrit:vivi et farid.....ça me renvoie à la sortie de l'album " Rock ' n roll" production typée milieu des années 80, des synthé ringards mais de chouettes compos là dedans avec un nono toujours inspiré.

Je vois que les anciens Trust ont du mal à lâcher l'affaire concernant ACDC, comme nous finalement, malgré toutes ces défections dans les rangs des boys.

je me souviens que vivi portait souvent des tee shirts et des badges AC/DC.


Trust et AC/DC , Bon et Bernard , une vieille histoire :D
Bon Scott :
- Êtes-vous AC ou DC ?
- Ni l'un, ni l'autre : je suis l'éclair entre les deux !!
-1973-2024 Quand tu as eu le nez fin..
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sydney76
 
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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar sydney76 » 18 Mai 2016, 10:01

C’est sous un ciel capricieux que je quitte ma belle ville de Besançon le 12 mai au matin. La pluie, diluvienne à Lyon où je fais escale, ne me quittera pas jusqu’à Marseille, qui m’accueille en tout début d’après-midi.

Un soleil timide cependant, mais bien présent, illumine cette grande ville que je découvre, et éclaire d’une lumière romaine entre jaune et orange notre Dame de la Garde qui me toise alors que je l’admire depuis l’esplanade de la Gare Saint-Charles.

La pluie s’en est allée, et devrait nous oublier pendant le concert qui se profile. Un jour comme celui-là me renvoie invariablement à mes concerts d’AC/DC qui ont précédé, depuis 28 ans désormais. Une douce nostalgie, des souvenirs fort et parfois cocasses quand ma jeunesse éloignait de moi le parfum du risque, certains morceaux plus que d’autres, une image flash de chacun de ces rendez-vous inoubliables.
Le contexte de ce concert aux accents du sud est cependant particulier, tellement particulier même.
Ce sera ce soir le 5e line-up d’AC/DC qui se produira sous mes yeux. La succession de Chris au poste de Simon avait glissé sur moi comme une goutte d’eau sur la plume d’un oiseau. Le leg européen de 1988 m’avait épargné le retrait de Malcolm qui allait suivre quelques semaines plus tard, dévoilant au regard de quelques rares fans avisés le visage de Stevie, son neveu.
Le Rock or Bust Tour version 2015 au Stade de France avait été moins parcimonieux dans l’épreuve, et c’est sans Malcolm et Phil Rudd, retrouvé en 1996, que le groupe avait néanmoins délivré deux prestations époustouflantes, consacrant le retour en grâce et en sueur dans notre maison commune de Stevie et de Chris.

J’ai adoré ces deux shows parisiens, et mon bonheur comme mon plaisir sont restés intactes à passer deux heures avec AC/DC, toujours baigné d’un sentiment contradictoire mais délicieux : partager ce moment avec des milliers de personnes l’étincelle dans les yeux et la joie au cœur et cependant, regarder ces 5 morveux intemporels en conservant l’idée qu’ils ne jouaient que pour moi… J’ai pensé à Malcolm, la figure tutélaire et tant admirée, et à Phil, incomparable batteur, absent lui aussi, pour des raisons différentes sur lesquelles il est inutile que je m’attarde. Et j’ai chanté, hurlé, dansé et sauter, fidèle aux préceptes de mon groupe. La plus belle des réponses, déjà, à mon sens, à cette douloureuse et double privation.

L’annonce du retrait forcé de Brian début mars a été un coup de massue, qui m’a laissé sans voix et hagard. J’ai pour cet homme une admiration et une affection sans limite. Ce communiqué sibyllin et par trop expéditif du groupe, annonçant déjà l’option guest singer. Heureusement complété par celui de Jonna, si proche du Brian que l’on connait depuis ces 36 longues et belles années, dans sa simplicité et son honnêteté, qui m’a bouleversé.
Je suis resté discret depuis, m’exprimant peu, attitude que j’ai conservée après la confirmation d’Axl Rose au poste de chanteur pour les 12 dates européennes et les 10 concerts américains de 2016. Oh, nombre d’idées contradictoires se sont bousculées dans mon esprit, sur la pertinence ou nom de continuer ou non sans Brian notamment… Je n’ai jamais jugé l’avis de l’un, condamné l’opinion d’un autre. Le silence ne vaut pas indifférence, mais l’affectif est un terrain glissant, sur lequel on a finalement peu de prise, voire aucune. Une scène de théâtre vivant sur laquelle 1000 arguments vont s’opposer à 1000 autres. Au final, le débat s’enlise, s’envenime. Chacun, légitiment, campe sur ses positions. Il y a autant de vérités que de fans.

Mais voyez-vous.

J'ai pour Angus Young, compagnon de route depuis 1978, la plus limpide des admirations. En réalité, je n'ai rien à reprocher à ce rocker ultime, aussi intègre que discret. Aussi fou qu'abordable. Possédé par sa musique, il donne à son public toute son énergie et sa dernière goutte de sueur comme si, à chaque concert, et sans aucun calcul, cela pouvait être la dernière fois. Comme si, dans chaque salle, dans chaque stade, sur chaque site de festival, son honneur en dépendait.
Angus Young, dont la vie rime avec AC/DC depuis un certain 31 décembre 1973 du haut de ses 18 printemps, date fondatrice, baptême de feu scénique. Angus Young qui n’aura depuis raté aucun concert du groupe. Aucun, alors que mille fois il aurait pu se briser une cheville, se démettre une clavicule ou perdre connaissance au terme d’une course échevelée, une de plus, sacrifiant sous nos yeux écarquillés d’admiration et dans un défi permanent son intégrité physique, pour les 10, 100, 1000, 10.000 ou 100.000 fans présents.
Un personnage lunaire et peu disserte, qui lui demande au fond de palabrer( ?), qui est immergé dans sa musique, totalement, qui ne sait et ne veut faire que cela. « Qui m’aime me suive », c’est je pense l’une de ses devises de vie. Qui n’aime pas ses disques, ses prestations live telles qu’il les livre et souhaite le faire passe son chemin. Angus Young n’a pas le temps de perdre son temps. Ses décisions sont souveraines, il n’oblige personne à rien. Seule sa guitare parle.

Alors oui, je n’aurai pas assez de 100 vies pour rendre à ce citoyen du monde bruyant et génial et à son combo australien AC/DC ce qu'ils m'ont donné.

Avant même de retrouver Sam et Arnu sur le vieux Port, mon admiration sans borne et coupable pur ce petit bonhomme, libre à vous de le penser, avait emporté la plupart de mes doutes. Fidèle aux paroles « Don't worry about tomorrow, Take it today" de « Have a drink on me » signées de la plume de Brian, j’avais de nouveau rendez-vous avec AC/DC, dans un nouvel habit. Sans Brian, présent par l’esprit, comment en douter, c’est lui-même qui s’y était engagé. Fidèle aussi à une philosophie de vie, qui m’oblige à relativiser, et à distinguer l’imprévu de l’insupportable, la chose musicale de la maladie… et en évitant toujours les termes par trop excessifs.

Après un verre salvateur sur une belle terrasse où nous saluons Vivi et Farid de Trust qui seront de la partie ce soir, il est temps de rejoindre le stade. 10 minutes de métro, et nous voilà au pied du nouveau Stade Vélodrome qui en impose, planté là, majestueux, dans le 8e arrondissement de la cité phocéenne. Il y a déjà beaucoup de monde, les terrasses, les Food Trucks et les stands de merchandising ne désemplissent pas. Immuables images d’avant concert, quand s’agite une fourmilière qui bientôt se retrouvera dans un même lieu pour communier.
Plaisir de croiser Phil avant le show, qui nous en dit juste ce qu’il faut, lui qui a déjà vu cette nouvelle formation à Séville.
L’accès au stade n’est pas très facile (mais les mesures de sécurité et les fouilles qui vont avec sont légitimes), la signalétique défaillante.
Je pénètre dans le stade à 19h45, les tribunes sont déjà bien garnies, comme la fosse. Direction côté Stevie, où je retrouve avec Arnu mes compagnons Sam, l'incorrigible dresseur d'oiseau :mrgreen: , Bon&Brian accompagné de son frère.

Surprise, le groupe démarre à 20h45. Les 2h15 qui suivent riment comme à l’accoutumée avec temps suspendu. Le patron est absent, Brian, l’autre point d’attention, l’autre repère intangible aussi. Alors, c’est plus que jamais un dialogue entre moi et le groupe, où se télescopent souvenirs et envies, pincement au cœur et joie d’être là.

Le débat Axl me semble loin en vérité, il s’agit bien de moi et de ce concert, d’un nouveau chapitre dans ce livre d’or écrit à deux mains, et dont je ne souhaite pas sortir tiraillé. Je le dois à Angus, là encore, et au groupe.
Ce 13 mai n’ôtera rien de ce que j’ai vu avec le groupe auparavant. Je le sais avant même qu’il ne débute.
Le casting depuis 1973 reste le même, personne n’est oublié, tous ont contribué à leur manière à construite cette œuvre magistrale, cette épopée rock’n roll unique en son genre. Je pense à Brian naturellement. Avec émotion et respect, un seul concert pourrait-il donc effacer tout ce qu’il a magistralement apporté au groupe ? Bien sûr que non, cela n’a aucun sens.
Je vais vivre, j’ai vécu ce concert dans l’instant, sans me projeter dans l’après Rock or Bust Tour. En gardant bien en tête le tampon « guest singer ». 12 dates en Europe, 10 aux USA en fin d’année. La suite ? Nul ne sait, et ce n’est pas mon problème à Marseille.


Et puis, c’est bien AC/DC que j’ai vu se déchainer sous mes yeux au Stade Vélodrome, car seule une formation pilotée par Angus, et elle seule, est en capacité d’interpréter AC/DC de cette manière, avec cette justesse, cette précision diabolique, cette hargne, cette énergie communicative.

Je vous l’avoue, je n’ai pas l’oreille musicale. Les tons et demi-tons, les modes d’accordage, les échos de cymbales et de charley, ce n’est pas ma tambouille.

Angus n’en pas été moins héroïque, une nouvelle fois. Celui à qui rien n'a été épargné depuis début 2014 a encore défié toute logique physique, donnant tout au public jusqu’à l’épuisement. Il est plus que jamais le point nodal, le point mobile sur lequel se focalise la plupart des regards. Il le sait, il en joue, et il est encore assez généreux pour croire, au-delà de ses limites, qu’il nous le doit. A l’instar de son groupe en danger, exposé, comme il a pu l’être lors du Back in Black Tour, c’est une puissance décuplée qu’il nous impose pendant tout le show. Rien de plus dangereux qu’une bête blessée.
Cliff, parfait, appliqué, impliqué. Présent, en vrai pilier.
Stevie, comme ton oncle absent et celui que tu vois passer devant toi en mode fusée et qui t’arrache de nombreux sourires admiratifs peuvent être fiers de toi. Tu n’es pas seulement le gardien du matériel et du look de Malcolm, tu es son porteur d’âme, son digne héritier. Maitre es riffs et mur du son.
Chris, bravo. Tu as maltraité ton kit, méprisant tes 70 ans qui approchent et que beaucoup oublient. 2h15 pied au plancher comme les 4 autres. L’esprit Donington 91 est bien là, il s’est renforcé même.

Axl. Sujet de toutes les discussions. J’entends les reproches qui te sont faites, la sale réputation que tu traînes derrière toi, comme un boulet. J’en suis l’écho parfois.
L’image que tu renvoies, encore, toi qui t'es bien assagi pourtant. Totalement aux antipodes de celle de Brian, si on ne veut pas creuser, un peu… sans te laisser le moindre bénéfice du doute.
Tu étais là pour chanter, remplacer l’irremplaçable (si tant est que l’on te l’ai demandé en ces termes, mais j’en doute). Pour combler un vide, remplir une fonction. Et tu as été parfaitement au rendez-vous. Avec quelques imperfections, et un manque de nuances peut-être ici ou là. Comme Brian en 1980, si emprunté lui aussi parfois. Et alors, au fond ? Et puis, peut-on en vouloir à un type qui rend service ? Mon dieu, non !
Tu n’as pas outrepassé ton rôle. Tu n’en a jamais trop fait. Tu as tout donné.

J’ai adoré le show de Marseille, j’ai pris une claque rock’n roll monumentale. Totalement satellisé sur Shoot To Thrill, Thundestruck, Rock'n Roll Damnation, Riff Raff, Dirty Deeds, If you Want Blood... et toutes les autres en fait ^^...

Je l’ai apprécié pour ce qu’il était, sans en modifier le périmètre et la portée au-delà du 13 mai 2016 23h. AC/DC, devant moi, un putain de privilégié encore une fois. 23 titres, Riff Raff, If You Want Blood et Rock’N Roll Damnation comme ultimes offrandes.

J’ai été secoué par le regard triste et égaré de mon très cher ami Judge Dan, car celui-là, non plus, ne fait jamais semblant. Ma joie contrastait, sévèrement sans aucun doute. Son chagrin, son incompréhension, perdu sur une planète, la sienne, dont il ne reconnaissait plus rien m’a transpercé. J’ai été triste pour toi Dan, sans tenter de t’entrainer avec moi, peine perdue, en respectant ton émotion à fleur de peau. A vif.
Nous avons parlé depuis. Nous nous sommes compris. AC/DC chacun à notre manière, mais AC/DC toujours. Tous les chapitres pour toi sans l’épilogue 2016 version Axl. Le livre entier doit-il pour autant finir au bûcher ?
Un tatouage AC/DC ne s’efface jamais totalement. Après l’encre, demeure le relief imprimé sur la peau.

Merci AC/DC. AC/DC vivant.
Brian, take care, on en a pas fini tous les deux.
"Don't worry about tomorrow
Take it today".

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar Blue » 18 Mai 2016, 11:33

arnukem a écrit:Ironie du moment. Alors que chez le patron, le cognitif a lâché, c’est l’affect de ses fans qui est mis à rude épreuve. C’était plus qu’un concert, c’était une plongée en chacun de nous. Et là, personne ne détient la vérité absolue. Il y a autant de vérités que de personnalités ici.

Axel a cristallisé le débat, tellement qu’il nous en a fait oublié que ce n’était pas de lui dont la soirée s’agissait, mais de nous. Comment imbriquer ce chapitre dans notre histoire avec le groupe, comment l’appréhender, le digérer, comment ne pas ressentir ce choix comme une agression, une crise identitaire. Comment se sortir de là gagnant.
------------------
En attendant, il me semble important que nous prenions le recul nécessaire et que vous gardions notre lucidité dans le débat. Nous traversons une zone de turbulences, et notre affect est mis à dure contribution. Que ce soit dans l’enthousiasme, la tristesse, le positivisme ou le défaitisme, nous respirons et nous ressentons. Prendre conscience de la nature de cet état là est un premier pas pour digérer et avancer. Ou arrêter. Mais accepter en tous cas.
]


sympa. J'ai apprécié. Merci.

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar Bur » 18 Mai 2016, 12:21

Très beau texte Sydney76. Tu m'as presqu'arraché une larme !
Judge Dan a écrit:Si cette photo s'avère bien prise cette année, Bur, tu resteras dans l'histoire d'H2ACDC comme mon héros...

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar decibel » 18 Mai 2016, 12:43

Pas beaucoup le temps de participer aux discussions malheureusement mais je tiens à remercier les membres de ce forum pour ce qu'ils sont et le staff pour ce qu'il fait. Promis je lierai les comptes rendus.
Très bon concert pour ma part, cette fois ci j'ai pu y assister. Simplement dommage que le fauteuil d'Axl n'ai pas de moteur pour aller voir le public d'un peu plus près :D
Une petite vidéo de High Voltage qui n'est pas présente dans le carnet de route, voici :https://youtu.be/nVFubq75DMg

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar ol » 18 Mai 2016, 12:55

Superbes mots cher Syd'. J'ai failli écrire "superbes notes"tant sous chaque ligne résonne (et non pas raisonne ) ta passions et tes émotions. Alors je lis avec un immense plaisir tes mots non pas seulement pour ce qu'ils sont mais aussi pour ce qu'ils sonnent!
AC/DC : les quatres premières lettres de mon alphabet

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar Chonchon » 18 Mai 2016, 13:12

caraibes46 a écrit:Trust et AC/DC , Bon et Bernard , une vieille histoire :D


Oui et comme ça " Bèrnard" aura des arguments pour bien les flinguer dans une interview prochaine .
" Float like a butterfly , sting like a bee " Mohamed Ali

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar Hagler » 18 Mai 2016, 14:41

CR en cours de modification.
Dernière édition par Hagler le 18 Mai 2016, 18:36, édité 1 fois au total.

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar sebcarr » 18 Mai 2016, 16:10

Bonjour à tous,

huitième fois que je voyais AC/DC sur scène... et une des meilleures !

Grâce à la setlist de rêve (3 titres de Powerage et If you want blood en surprise),
grâce au public réactif, grâce à tout le groupe solidaire,

et grâce à toi Mr Angus Young plus survolté que jamais avec toutes les épreuves en cours.

Bravo et merci.

Sebcarr

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar crap04 » 18 Mai 2016, 17:36

rnr damnation de bonne qualité
https://www.youtube.com/watch?v=o6b30FH3ed0

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar godown67 » 18 Mai 2016, 19:59

Sydney, ta review, passionnée et passionnante, est un superbe écho à celle de Judge Dan. Merci à tous les deux !
Je suis un gentleman ; c'est marqué sur la porte des chiottes.
Wallace Palès

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar samcdc » 18 Mai 2016, 20:05

Une review et surtout beaucoup de jolies photos sur ce lien : https://www.rockurlife.net/report/ac-dc ... e-13-05-16
Ca f’rait plein de jaloux / Qui n’en ont pas du tout / Ca f’rait plein d’envieux / Qui n’en ont pas chez eux / Ca f’rait plein de méchants / Qu’en ont pas de si grand / ca f’rait plein de badauds / Qu’ont rien vu d’aussi beau

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Re: Marseille, 13 mai 2016, Stade Vélodrome

Messagepar angus974 » 18 Mai 2016, 20:16

godown67 a écrit:Sydney, ta review, passionnée et passionnante, est un superbe écho à celle de Judge Dan. Merci à tous les deux !



En effet, ça prend aux tripes
et je viens de voir un post de ol et son livre de philo
je vais finir par arrêter de poster ( pas au niveau ! )

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